Mark Et Max 06 Premiers Doutes, Grandes Décisions
Fiona est parti depuis maintenant trois semaines et cest à notre tour de quitter lappartement. En effet, après son départ, nous nous sommes lancés dans une grande discussion à savoir si on retrouvait un nouveau coloc ou si nous trouvait un appartement plus petit pour nous deux. Cest Maxence qui avait lancé cette idée et je dû prendre mon temps pour réfléchir car ce nest pas une décision facile. Ma première réaction était ment très enthousiaste car cela montrait quil voulait sengager plus loin avec moi. Mais bon cet engagement me stressait aussi car je ne savais pas comment ça allait se passer lorsque nous trouverons notre routine. Max mavait laissé une semaine pour donner ma réponse et ce soir arrivait léchéance.
Nous étions installés dans le canapé à discuter quand Maxence détourna le sujet pour en venir à la proposition dappart. Je pensais quarriver à ce moment jaurais déjà pris une décision claire mais tout était encore embrouillé dans ma tête. Il le comprit à ma réaction et je sentis une pointe de déception dans son regard. Je lui expliquai que ce nétait pas le fait de vivre avec lui qui me perturbait mais la peur de tomber dans une routine et de ne plus laimer comme je le devrais. Il comprit et finit par admettre quil navait pas à me donner un délai et que javais le temps de donner ma décision. Nous partîmes nous coucher sur cette ambiance un peu morne. Pour la première fois depuis notre début de relation, chacun était de son côté du lit à réfléchir et sans ment aller vers lautre pour le prendre dans ses bras. Bien que frustrant je finis par mendormir.
Cette nuit-là, je fis un rêve perturbant. Je me voyais méloigner de Maxence, de plus en plus loin. Jétais tellement triste et jessayais désespérément de lappeler mais ma voix ne portait pas aussi loin. Javais besoin de lui mais il nétait plus là. Jétais dans une pièce vide blanche sans issue où se trouvait un seul carton. Cétait trop pour moi et je me réveillai en hurlant.
Jétais en sueur et mon rythme cardiaque était très élevé. Jessayais de reprendre mon souffle mais ce sentiment de solitude ne me quittait pas et au fond de moi un trou venait de se créer. A mon sursaut, Maxence sétait réveillé plein dinquiétude. Il me regarda quelques secondes avant de se rapprocher de moi pour me prendre dans ses bras. Au contact de sa peau brulante, je meffondrai en pleurs. Il ne comprenait pas du tout ce quil se passait et essayait tant bien que mal de me calmer. Lorsque je pus de nouveau respirer calmement, je lui racontai mon rêve. Je finis par le regarder dans les yeux et des frissons me parcouraient tant je pourrais le regarder à longueur de journées.
« Je ne pense pas quil me sera possible de revivre sans toi à mes côtés alors oui jaccepte de vivre avec toi dans un nouvel appart. Mais promets-moi que tu ne téloigneras pas de moi. »
« Je te le promet. »
Un sourire aux lèvres et les yeux mouillés par la joie, nous nous embrassâmes fougueusement. Je sentais ses mains parcourir mon corps et le désir monter. Jétais aux anges mais je ne me sentais pas de baiser maintenant alors que je venais de faire un cauchemar qui me restait encore en tête. Je finis par éloigner ma bouche et venir me blottir contre son torse. Il eut un recul de surprise et finit par me demander ce que je faisais.
« Je tavais bien dit que je me vengerais ! La frustration cest dans les deux sens coco ! »
Je venais de marquer ma vengeance par rapport à lautre nuit et jétais tout heureux de moi. Lui par contre tirait un peu la gueule mais il finit par se détendre et me prendre dans ses bras tout en me lâchant des petits piques de frustration. Jétais content de cette situation où je le dominais et où il montrait en même temps son respect pour moi.
***
Le réveil fut assez bizarre car lorsque jouvris mes yeux, Max nétait plus dans le lit. En effet, contrairement à moi il devait partir travailler. Je reliais et essayais de resi les événements de la nuit pour savoir ce qui avait été réel ou pas.
Je dansais et virevoltais dans lappartement heureux dêtre amoureux. Je chantais et courais tellement que je faillis rater lappel de Fiona. Je décrochai en trombe tout en courant éteindre la musique. Elle fut surprise de mentendre jubiler comme ça et sempressa de me demander ce qui me faisait tant plaisir.
« Je laime Fiona ! Je suis amoureux de Maxence ! Je men étais caché pour ne pas souffrir mais ce matin en me réveillant jai enfin pu le dire : Je laime !!!! »
Fiona rigolait toute seule au téléphone et se disait heureuse pour moi. Je réalisai bien rapidement quà la base cest elle qui mappelait et non pas le contraire donc je recentrai le sujet sur son appel. Rien de bien important mais juste un besoin de me parler. On raconta nos week-ends et je lui annonçai notre volonté de vivre ensemble dans un appartement. Elle se ravit et menvoya toutes ses ondes positives. Le temps file et on finit par raccrocher.
Jallumai mon ordinateur et commençai à regarder les annonces dappartements. Je branchai mes écouteurs et cest ainsi que je me lançai dans des heures de recherches avec un enthousiasme toujours plus certain. Je triais et mettais de côté ceux qui me paraissait bien tout en prenant en compte la distance du travail de Maxence et de mon école.
Je ne voyais pas le temps passer et je sursautai en criant lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule. Cétait Maxence qui était rentré mais avec mes écouteurs je navais pas senti sa présence. Il explosa de rire tandis que je le maudissais avant de venir menlacer et membrasser. Il tourna ensuite son regard vers lordinateur et un large sourire prit place sur son beau visage.
« Eh ben pour quelquun qui hier ne savait pas encore quelle décision prendre je trouve que tu tinvestis assez rapidement. »
« Oh juste un passe-temps pour lennui qui sest emparé de moi durant cette longue et triste journée sans toi. »
Mon ironie le fait rire et je reçu un nouveau baiser. Avec cette arrivée surprise jen oublia de le regarder dans son ensemble et en reculant dun pas, je maperçus quil était habillé avec un costard cravate bien serré. Maxence travaillait dans une agence dinformatique et en temps normal il y va en habit soigné, chemise à la limite, mais jamais en costard.
« Eh bien cest que tu serais presque baisable ! Quest-ce qui mérite que tu portes un tel accoutrement ? »
« Javais rendez-vous avec le directeur pour un poste plus important dans mon entreprise ! Je voulais te faire une surprise au cas où que jai le poste mais je vois que tu mas grillé avant ! »
« Oh mais quil est mignon ! Il préfère casser sa surprise que de me mentir ! »
« Eh oui je préfère te le dire et que lon continue sur notre lancée positive et de faire entrer des soupçons dans notre relation. »
Jétais là à lécouter dire ces mots et plus il parlait, plus mes yeux se mettaient à briller. Jétais vraiment sous son charme et lentendre dire ça me confortait encore plus dans mes convictions. Une flamme de désir salluma en moi et force est de constater que Max lavait capté car tout de suite il se prit pour un agent immobilier un peu trop rentre dedans.
« Nous voici dans le séjour où vous prendrez divers plaisirs comme manger, jouer, vous reposer. Ici nous avons la cuisine avec une grande surface pour préparer vos plats ou vous allonger dans le cas où vous êtes fatigués. Vous trouverez trois chambres avec de belles surfaces pour inviter tous vos amis et ainsi profiter des joies de la vie. La salle de bain est spacieuse et conçu pour vous faire passer des moments de bonheur encore jamais connu. »
Pendant toute sa présentation, je jouais le rôle du client qui visitait pour la première fois lappartement. Il était excellent dans son rôle et ne cessait pas de faire des allusions sexuelles avec un regard plus que brûlant. Je posais moi aussi des questions ambigües pour pimenter le dialogue. Cela faisait 15 minutes que lon jouait se rôle et ça devenait clairement trop chaud alors lorsque nous rejoignîmes enfin la cuisine pour faire semblant de signer les papiers, je décidai de faire basculer la situation.
« Hum, le prix est un peu excessif. Vous nauriez pas un bon tuyau pour faire baisser le prix ? »
« A vrai dire jen ai un
Et ce qui est bien avec ce tuyau cest quil ne fait pas que baisser le prix. Mais cest un peu secret alors je préfère vous le dire dans loreille. »
Sur ce, il sapprocha de moi et vint coller sa bouche à mon oreille pour y expirer doucement un souffle chaud. Mes mains sagrippèrent à son costume tandis quil mappuya contre lîlot de la cuisine. Il y murmura quelques mots salaces avant de venir embrasser mon cou et remonter jusquà ma bouche. Nos lèvres souvrirent pour que nos deux langues nen fassent plus quune. Lambiance était caliente. Après quelques minutes à sembrasser, je pris un peu de recul et le regarda droit dans les yeux.
« Jai toujours rêvé de me faire enculer par un mec en costard, je crois que cest mon jour de chance. »
Et sur cette phrase, un rictus sinscrit sur ses lèvres avant quune de ses mains viennent mappuyer la nuque pour me mettre à genoux.
« Je pense que vous êtes un client assez sérieux pour que je vous partage mon tuyau. »
Il dézippa sa braguette et laissa apparaître sa queue. Oh le salaud na pas mis de sous-vêtement ! Elle bandait un max et ma bouche sen approcha rapidement. Je léchai dabord sa queue dans tout son ensemble avant de lengloutir jusquà la hampe. Je le suçai pendant de longues minutes où le silence et les gémissements avaient remplacé la discussion. Il faisait de plus en plus chaud et je commençais à transpirer à travers mes habits. Je commençais à vouloir retirer mon tee-shirt quand il me stoppa net.
« Si ton rêve cest de te faire baiser par un mec en costard, le mien cest de baiser un mec habillé ».
Il sourit content de sa connerie et mincita à reprendre sa belle queue dans ma bouche. Ma bite était elle aussi bien dure mais contrairement à Max, elle était retenue prisonnière dans mon jean et ce nétait pas des plus agréables. Et de toute façon mon cul était trop en manque donc je décidai quil était temps de passer la seconde. Je me relevai, lembrassai et me retournai face à lîlot.
« Cest donc ici que vous pensez que lon peut sallonger. Je doute que ce soit lendroit le plus confortable mais si vous me démontrez le contraire, je pourrai être encore plus convaincu que cest le bien quil me faut. »
Il sourit et magrippa par les hanches avant de venir se coller derrière moi. Une fois de plus, il vint respirer proche de mon oreille. Il activait son bassin et commençait à frotter sa queue bien dure contre mon fessier.
« Hum vous verrez quand je vous aurai démonté
euh démontré
les bienfaits de cet îlot, vous ne pourrez plus vous en passer. »
Sur ces phrases, il plongea une de ses mains dans mon jean afin de venir agripper ma queue qui nen pouvait plus. Il continuait de se frotter à mon cul tout en branlant lentement ma queue dans le peu despace quelle a. Il retira ensuite sa main pour déboutonner mon pantalon. Cétait enfin la délivrance et ma queue se dressa dans lair dès que mon boxer fut aussi baissé jusquen bas de mes fesses. Il prit une de mes jambes pour la placer sur lîlot et ainsi offrir une meilleure visibilité arrière. Il saccroupi et embrassa mes fesses dabord avec douceur puis avec plus de conviction. Il finit par écarter mes lobes fessiers pour y fourrer sa langue. Je sentais ce bout de chair humide gigoter contre mon anus et des premiers gémissements commençaient à se faire ressentir. Au bout de quelques minutes, il se recula pour y enfoncer un premier doigt. Ses doigts sont durs et solides et à chaque fois quil me doigte cest un plaisir sans fin. Il passa au deuxième doigt puis au troisième. Le tout sous quelques répliques brûlantes qui allient avec ambiguïté le lexique sexuel et celui de limmobilier.
Je transpirais maintenant fortement car les habits amplifiaient la chaleur du corps. Je voyais quil était dans le même cas que moi et ça ne faisait quaugmenter mon excitation. Il finit par se relever et sort une capote dun des tiroirs de la cuisine. Je le regardai avec un regard perplexe et il me répondit hilare.
« Je vous avais bien parlé dune cuisine tout équipé ! »
Il me faisait tellement rire ce bonhomme. On reprend bien vite notre rôle et après avoir enfilé la capote sur sa queue, il me cambra à son aise en mappuyant contre lîlot pour avoir une meilleure profondeur de mon cul. Il entra alors en moi avec douceur et aisance tout en lâchant un soupir daise. Je sentais son membre en moi frotter mes parois et je commençais à partir dans un état second tant jaimais le sentir en moi. Il accéléra les coups et continuait ses réflexions salaces. Jy répondais quand je le pouvais mais la majorité du temps jétais pris de court par ses coups de butoirs qui me laissait pour seul parole des gémissements qui me rapprochaient de plus en plus de lorgasme.
Au bout dun moment, il me retourna pour mallonger sur le dos et reprendre ses coups de queue. Avec cette position javais le plaisir de pouvoir lobserver en train de menculer et avec ce costard cétait encore plus beau à voir. Il dégoulinait à grosses gouttes sous cette chaleur. Il semblait concentré à trouver son plaisir et le voir dans cet état me rendait encore plus chaud. Jattrapai sa cravate et lobligeai à se retrouver à quelques centimètres de mes lèvres. Je le fixai dans les yeux et lui ordonna dy mettre toute son énergie pour finir en beauté. Il en profita pour me rouler une grosse pelle et me poussa un peu plus loin du lîlot afin de pouvoir aussi y monter. Il reprit sa position et malgré la limitation des mouvements dû aux vêtements, il accéléra la cadence et crispait son visage dans de long râles qui se voulaient des plus rauques et sauvages. Il menculait sauvagement quelques minutes avant dy fournir ses ultimes forces. Il ralenti le rythme mais chaque aller-retour était plus profond que le précédent et dun seul coup il sarrêta au fond de moi en poussant un orgasme qui cristallisa la pièce. Je sentis son jus sortir de sa queue pour partir dans la capote. Il resta en moi quelques minutes et pour reprendre son souffle et glissa de lîlot pour que son haut de corps se trouve à hauteur de mon entre jambe. Il entreprit de sagripper à ma queue encore raide et de la branler doucement. Plus les secondes passaient et plus son regard redevenait brûlant. Il me fixait dans les yeux et accélérait la cadence de masturbation. Après tout cette jouissance anale, cétait bizarre de retrouver des sensations au niveau de la queue et javais limpression de me faire baiser une deuxième fois. Maxence redevenait excité et il ne put sempêcher de me sucer avec vigueur. Sa queue à lui devait reprendre forme car une de ses mains étaient redescendu vers sa queue et semblait la branler. Jarrivais moi aussi à lapproche de lorgasme et ma main devenait de plus en plus insistante sur sa tête qui me suçait. Je finis enfin dans un dernier gémissement à pousser un râle suivit de plusieurs décharges dans ma queue. Il se prit tout dans la bouche et continuait de me sucer comme si de rien nétait. Le surplus de sperme sortait de sa bouche et ma queue était recouverte de salive et de sperme que Max continuait de mélanger. Dun coup, il lâcha enfin ma queue et monta sur lîlot avec empressement. Il se posa sur mon torse et branla une dernière fois sa queue avant de lâcher plusieurs jets sur mon visage. La quantité nétait pas exceptionnelle étant donné quil avait éjaculé il ny a pas longtemps mais il y en avait quand même pas mal.
Il resta quelques secondes assis sur mon torse à respirer fortement avant de reprendre ses esprits et membrasser tendrement à travers nos spermes qui nous recouvrait le visage. Je sentis un sourire se dessiné sur son visage pendant quil membrassait et après sêtre reculé, il me regarda fixement avec un petit rictus.
« Alors mon tuyau vous a plus ? Vous achetez ? »
On explosa de rire ensemble et quelques larmes de joie mouillèrent mes yeux quand je me fis la remarque que jaimais cet homme et la complicité que javais avec.
« Bon cest pas le tout mais bon avec cette connerie je suis trempé et mon costume est mouillé de partout
»
« Eh bien cest parfait car bien que votre visite ait été exceptionnelle, javais comme une petite déception de ne pas pouvoir essayer la douche. Je serais dautant plus satisfait de vous avoir avec moi pour mexpliquer les spécificités de cette douche. »
On se sourit mutuellement avant de nous embrasser et de prendre la direction de la douche. Jétais tellement heureux que je restai blottit dans ses bras sous la douche. Après la douche on partit sous la couette pour un moment câlin et parler de notre journée. Je lui parlai des différents appartements vus et de ceux que lon pourrait visiter cette semaine. Après mavoir parlé de son entretien avec le directeur, un souvenir retraversa mon esprit. Je lui demandai comment ça se faisait quil ne portait pas de sous vêtement pour aller à un entretien dans sa propre entreprise. Il explosa de rire.
« Non mais tu crois vraiment que jallais aller à un entretien et risquer de le ruiner en mettant un boxer qui aurait déformé mon pantalon serré ? Je veux bien prendre des risques dans la vie mais pas celui-là ! »
Je rigolai à sa blague et après divers autres sujets, nous finîmes par nous endormir lun contre lautre avec la conviction que le futur sera encore meilleur.
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